maës • « slow dancing in a burning room »

description physique (10 lignes minimum) :

Je ne suis pas un jeune homme spécialement grand puisque je mesure dans les un mètres quatre-vingt et quelques. Commençons par le haut ; mes cheveux sont d'une couleur châtin clair généralement en bataille puisqu'il m'arrive très rarement de les coiffer. Non pas parce que je n'ai pas le temps mais tout simplement parce que je n'aime pas être peigné et brossé comme l'élève modèle type. Au-dessous de cette masse capilaire, un visage plus ou moins oval où trônent une paire d'oeils d'une couleur emeraude, scintillants à la lumière du jour. La couleur de mes yeux varient en fonction du temps et des saisons. Par exemple j'aurai les yeux d'une couleur bleuté en été et bleu/vert au printemps. Un nez d'une dimension plutôt bonne réside au beau milieu de ce visage. Des lèvres légèrement pulpeuses sont également disposées sous ce nez. Je possède donc un faciès plutôt agréable à observer. Disons que Dame Nature m'a bien gâté. Parlons du corps à présent. Faisant régulièrement du sport, je possède donc un corps musclé et ferme. Bien que j'aime m'empiffrer de temps à autres de toutes sortes sucreries et notamment les Chocogrenouilles et les Dragées surprises de Bertie Crochue, je sais qu'après cela il faudra que je cours durant une bonne vingtaine de minutes pour éliminer ce que j'ai ingurgité. Rassurez-vous, je ne suis pas ce genre de garçon qui passent leur temps à courir pour éliminer. Je fais tout simplement du sport pour le plaisir afin de garder un corps parfait, ou du moins presque. Il faut donc dire que j'ai un corps de rêve mais contrairement à d'autres personnes, je ne me vante pas d'avoir un tel corps, au contraire. Les seules pouvant admirer ce corps magnifique sont les filles avec lesquelles je passe régulièrement mon temps. Là, elles peuvent admirer les courbes presques parfaites de mon torse, des muscles puissants et fermes surmonter d'un visage d'ange et vous obtenerez l'homme - presque - parfait. Prétencieux ? Probablement mais, rassurez-vous, je me soigne.

description du caractère (10 lignes minimum) :

Fumer nuit gravement à la santé de votre entourage.

M'en fous, j'ai pas d'amis.

Je fûme, je suis dépendant et très accro. Je n'y peux rien me disais-je étant plus jeune mais avec le temps, j'ai réfléchi, pensé et compris qu'en réalité si j'avais commencer la cigarette, c'était pour suivre le ' courant ' , la mode pourrait-on dire. Eh oui, je fumais lorsque mes compères fumaient. A vrai dire, je possède désormais - car il y a quelques années, ce n'était pas ça - un nombre important d'amis qui me soutiennent et m'apprécient à ma juste valeur tant garçons que filles quoique, pour ces dernières j'évite de trop m'attacher à elles car cela termine toujours mal, vous voyez ce que je veux dire. Nous sommes donc une bande d'amis assez proches qui s'échangent souvent quelques paquets de cigarettes. Fumer, à commencer à partir de quinze ans et d'ailleurs je n'ai toujours pas arrêté. J'en suis devenu totalement dépendant bien qu'on me solicite à arrêter car à force de trop fumer je risque d'attraper quoi déjà ? Ah oui, un cancer des poumons il me semble. Mes dents ont l'air de jaunir sans que je ne m'en rendre compte, mon index de même et partout où je me promène cette odeur exquise pour moi mais désagréable pour les autres, de tabac me suit où que j'aille. C'est bien cela l'addiction mais je ne m'en plein pas. Après tout, nous n'avons qu'une seule vie alors autant en profiter, n'est-ce pas ?

Une mauvaise conscience peut rendre la vie intéressante.

Je l'ai toujours été et je le resterai à jamais. On me surnomme affectueusement Don Juan allez savoir pourquoi. Certes j'ai connu beaucoup de demoiselles durant mon adolescence et même en tant que jeune adulte, j'en connais encore beaucoup. Cependant, je n'aime pas ces femmes, pour moi, elles sont une sorte de passe-temps où je m'amuse et prend du plaisir en leur compagnie. Je ne les traite en aucune manière tel un jouet, mais au contraire, je les traite en toute modestie comme de véritable princesse en leur offrant des bijoux par vingtaine, des vêtments à ne plus pouvoir être entreposés dans leur armoire .. J'ai connu toutes sortes de demoiselles autant minces qu'enveloppées, grandes ou petites, blondes ou brunes, mariées ou célibataires, riches ou modestes, moldues ou sorcières je les ai donc toutes testées et on peut dire que j'en suis fier. Certes, je me suis fait également détesté de nombreuses fois tant par ma lâcheté que par mon ignorance. En effet, après avoir soigneusement assouvi mes plaisirs sexuels, je jettais celle pour qui j'avais promis amour et fidélité puis, m'enfuyais tel un voleur. Et pourtant, ces gentes demoiselles se jettaient dans la gueule du loup tel un agneau. Plutôt pathétique, n'est-ce-pas ?

Nous sommes les générations arrogantes qui sont persuadées qu'un bonheur durable leur a été promis à la naissance - promis ? mais par qui donc ?

Je suis un jeune homme très ironique. J'utilise des expressions qui prêtent parfois à confusion, et le ton avec lequel je parle n'arrange guère les choses. Je ne me suis jamais rendu vraiment compte du fait que je puisse parler aussi froidement. Si la personne en face de moi ne me plaît pas, je me ferai très rapidement comprendre en la dévisageant des pieds jusqu'au sommet du crâne tout en l'observant de mes yeux perçants, vous faisant obligatoirement détourner vos pupilles des miennes. Ce n'est pas que je veuille me prendre au sérieux c'est tout simplement le fait que j'ai été doté d'un caractère comme celui-ci. Oh bien sûr, je pourrai changer mais je garderai toujours ses quelques mimiques gravées au fond de mon crâne qui pourront ressurgir à n'importe quel moment durant ma vie, si jamais une personne ose me défier ou même m'invectiver derrière mon dos, je saurai très bien quoi répondre à cela. A vrai dire, je n'aime pas vraiment me laissé marcher sur les pieds.

C'est déjà une preuve d'attachement que de pouvoir se supporter.

Durant mon enfance, jusqu'à maintenant, j'ai toujours été quelqu'un de méprisant mais possédant un coeur tendre et rempli de bonté. Même si certaines personnes me voient comme un jeune homme hautain et sans scrupule. Ils ont tort. Je me conduis ainsi car j'ai été élevé de cette manière-là mais ça ne veut pas dire que je n'ai jamais été gentil et agréable. Avec certaines personnes encore inconnues à mon égard, je paraîs froid, distant. Seulement, je ne suis pas ainsi. Il ne s'agit que d'une illusion, une facette pour brouiller des pistes. Ce genre de qualité : la tendresse, je ne la dévoile pas à n'importe qui. De plus, je possède de nombreux sauts d'humeur qui rendend la vie dure à ceux que je cotoie. Je peux passer d'un jour à l'autre, d'un être doux comme un agneau à un être totalement incontrôlable voir diabolique. Disons que je n'ai pas encore appris à me contrôler, mais avec le temps et une dose de patience, j'y arriverai très certainement.

Il est plus difficile de ne pas jalouser un ami heureux que d'être généreux envers un ami dans le malheur.

Envers les personnes que je cotoie régulièrement, je suis une personne très généreuse. Bien entendu je ne prêterai pas un cahier voir même un devoir au premier venu. Je ne suis pas comme cela. Il faudra d'abord que j'ai appris à connaître la personne en question. Evidemment, je peux faire des exceptions ; par exemple, si une belle demoiselle me demande mon stylo je le lui donnerai sans maugréer en rajoutant même un sourire. Charmeur ? Oui, toujours. Surtout lorsque de jolies brunes m'accostent. Pour en revenir à mon côté généreux, sachez que je le suis également suivant mes humeurs. Il m'arrivera très certainement de l'être lorsque je suis sympathique et amical mais à l'inverse, si je suis de mauvaise humeur, sachez vous mettre à l'abris car vos propositions ne m'intéresseront pas du tout.

Toute vie qui ne se voue pas à un but déterminé est une erreur.

Incroyablement têtu, je suis tel un âne. Je veux avoir raison en toutes circonstances. Si vous n'êtes pas d'accord avec moi, vous pouvez être sur que je trouverai un moyen de vous ranger à mes côtés, tel qu'il soit. Je ne lâcherai pas tant que je n'aurai pas le dernier mot. Même si je sais de manière certaine que j'ai tord, je restera campé sur mes positions quoi qu'il arrive, jusqu'à que les personnes opposées abandonnent ... Mais si vous avez le malheur de résister, vous pouvez être certain que vous allez vous attirer mes foudres et regretter de m'avoir défié. Méfiez-vous ! Lorsque je décide quelque chose, il faut s'armer de patience, et avoir de bons arguments pour avoir une petite chance de me faire changer d'avis. Je catalogue vite les personnes dont j'ai entendu parler. De plus, imaginez-vous avoir sur le dos un homme qui n'arrêtera pas de vous importunez à tous moments ? Un cauchemar, n'est-ce pas ? Et encore, vous n'avez rien vu. Si je décide d'avoir une idée en tête, je ne s'obstinerai pas à l'enlever. Au contraire, je la garderai dans ma tête jusqu'à ce que j'ai trouvé son but. Têtu ? Tout simplement borné oui. Etant enfant, je ne paraissais jamais comme cela, aussi insolent et arrogant. Certe pour moi, la détermination une une qualité déterminante et non un défaut.

Le père = Ant Woodstom. Ce monsieur est né à Londres il y’a quarante-cinq ans de cela, il travaillait il y a quelques temps au Ministère de la Magie au département des mystères, c’est un riche héritier d’une fortune colossale.
La mère = Alésiane Woodstom – anciennement Johnsson - est une femme âgée d’à peine trente-trois ans qui est née en Ecosse. Elle est tombée amoureuse du porte-monnaie de son mari alors qu’elle voyageait en Angleterre.
Le frère = Death Woodstom (quinze ans) est le garçon le plus stupide que vous pourriez connaître. La magie n’a jamais vraiment été son fort, il n’aime personne et à toujours été quelque peu hautain et froid envers sa soeur et son frère.
La sœur = Eileen Woodstom (dix-sept ans) est d’une douceur et d’une gentillesse incroyable. Maës n’a pas passée beaucoup de temps à ses côtés, mais il l’aime sans lui avoir jamais dis.
La tante = Emy Woodstom, cette jeune femme de trente-huit ans à toujours suivi son frère dans toutes ses aventures, elle ne s’est jamais mariée et a eu un enfant par accident avec un sorcier étranger qui passait dans le coin ..


Maës Woodstom est né à Briston, en Angleterre, un treize septembre il y a dix-huit ans. Né durant une nuit d'automne, froide et pendant laquelle le vent soufflait énormément, Maës avait bien du mal à quitter le confortable ventre de sa maman, Alésiane Perla Johnsson de son nom de jeune fille, mais mariée quatre ans auparavant avec Ant Woodstom, un médecin - donc un sorcier, chargé des blessures magiques - renommé à l'hôpital Ste Mangouste . Après plusieurs heures d'attente interminable, Maës a finalement décidé à montrer le bout de son nez à sa petite famille impatiente. Il a vécu à Briston durant ses dix-huit ans, dans une grande maison servant autrefois d'auberge. C'était un vrai petit coin de paradis, un vrai petit nid d'amour que Alésiane et Ant avaient dénichée quelques mois seulement avant de se marier. La famille Woodstom a donc vécu d'incroyables années dans cette vieille bâtisse. Malheureusement, tombant en ruine chaque année, notre petite famille a du se résigner à la quitter, étant dans l'incapacité de la faire rénover, non pas par manque d'argent, au contraire Mr et Mme Woodstom n'en manquaient pas, mais le bâtiment était désormais trop vieux, et il se détruirait quelques années plus tard. Ils ont donc décidé d'abandonner l'auberge, et d'emménager dans une grande maison, toujours à Briston. Les années ont passé, et des conflits ont commencés à s'installer entre Maës et ses parents. Eh oui, arrivé à dix ou onze ans on commence à grandir, on est plus tout à fait un petit garçon, et on commence à vouloir être comme les grands. Il s'agissait bien entendu d'une crise de l'adolescence et personne n'y échappait. Maës était devenu un jeune homme mature et n'ayant aucunement froid aux yeux. Il prenait souvent ses parents de haut, les méprisant probablement or, il ne désirait pas cela. Avec son frère, Maës ne s'entendait pas bien avec lui. Ce dernier était d'une arrogance sans limite et ajoutez à cela une modestie implaquable. Maës le détestait, bien qu'il n'avait que trois ans d'écart. Quand à sa soeur, c'était une tout autre affaire ; en effet, la demoiselle était une jeune fille adorable et charmante. Sa voix cristalline faisait beaucoup de bien à Maës. Autant vous dire que le jeune homme l'adulait et regrette cependant de ne pas avoir passé plus de temps avec sa soeur. L'adolescence était une période difficile pour le jeune homme puisque ce dernier n'arrivait pas à canaliser sa colère. En effet, ses parents avaient beau lui demander de leur rendre un service, monsieur râlait et restait murer dans son coin, en silence. Mais fort heureusement, tout cela est passé, quoique ..


“ Un nouveau commencement. ”

Un souffle frais vînt à s'engouffrer dans la chambre où se trouvait un jeune homme, un sorcier âgé de onze ans. Il venait tout juste de s'enfermer dans sa chambre, à double tour, essayant en vain de ne pas penser à ses parents qui étaient une véritable corvée pour lui. Maës Woodstom était un petit garçon devenu subitement arrogant et méprisant à l'égard des autres individus. Mais le pire est qu'il ne s'en rendait même pas compte ! Lâchant un soupir, Maës finit par croiser ses bras, grelotant de froid suite à l'ouverture de la fenêtre. Son quartier était calme, bercer par se sinistre vent glacial. Un hululement se fit entendre. Les yeux du jeune homme s'écarquillèrent ; il avait peur, peur d'un volatile idiot et stupide. Et pourtant, ce n'était pas un volatile idiot et encore moins stupide. En effet, le hululement se rapprochait vivement. Maës finit par jeter un regard en direction de la fenêtre : personne. Prenant son courage à deux mains, il s'avança à petits pas en direction de cette même fenêtre. Il était quelqu'un d'intelligent et de courageux pour son âge, qualité que ses parents possédaient tous deux. Il continuait sa progression jusqu'à arriver au rebord de la fenêtre. Sa tête s'appliqua contre e même rebord, tandis que ses mains l'agrippaient. Ses yeux, encore humidifiés par les pleurs qu'il avait versé il y a de cela une bonne demi-heure s'estompèrent tandis que son regard s'attarda sur le ciel étoilée. Ses cheveux mi-longs voletaient dans la fraîcheur du soir. La lune était ronde et lumineuse, tout comme les yeux du petit garçon. Mais, dans un silence profond, une enveloppe se détacha du ciel obscure et étoilé afin d'attérir sur le sommet du crâne de Maës. Puis, un hululement résonna une fois encore avant de disparaître définitivement. Le garçon se recula vivement, se prenant par ailleur les pans de son tapis dans les pieds ce qui le fit tomber à la renverse. Un bout de papier rectangulaire gisait alors face à lui. Avalant avec difficulté sa salive, Maës s'activa pour attraper ce papier. Il s'agissait d'une enveloppe fabriqué en parchemin. Sur la face était inscrit quelques mots d'une couleur rouge sang ' Mr. Woodstom Maës 38 Little Midway, Briston ' . Retournant l'enveloppe, il découvrit alors deux autres mots qui le gratifia d'un sourire rayonnant sur ses lèvres ' Ecole Poudlard ' où le mot ' Poudlard ' scintillait de mille feux. Il s'empressa alors d'ouvrir cette enveloppe contenant une missive, ses mains tremblottaient mais la joie était belle et bien présente. Ce fut un soulagement pour ce garçon si impatient et introverti d'obtenir enfin une place au sein de l'établissement le plus prestigieux de Grande-Bretagne ! Après quoi, il quitta sa chambre pour aller retrouver ses parents, son frère et sa soeur et leur montrer enfin cette missive tout droit venue de l'école Poudlard.


“ Aujourd'hui, tout a changé. ”

Nous sommes en 2049 et notre petit Maës a bien grandit depuis ses onze ans. Le voilà à l'âge de dix-huit ans, attribué à la maison de ... - je mettrais un nom plus tard - . Le jeune homme est fier d'être dans cette maison ; il s'est fait rapidement un certain nombre d'amis et quelques connaissances - principalement des filles, il faut l'avouer - . Il est également devenu assez réputé auprès de la gente féminine. Ces jeunes demoisellees sont devenues un de ses passe temps favoris hormis le quidditch, aller faire un tour à Pré-au-Lard et écouter RDPL. Il aime être désiré et en profite souvent. Les relations qui lient Maës à sa famille sont devenues plus solides et confortables. Ses parents sont fiers de lui et il prend enfin conscience de la réalité de la vie. Cependant, avec son frère, rien ne s'est arrangé. Maës continue de le traiter avec une indifférence totale tandis que Death le méprise et le jalouse par la même occasion. Avec sa soeur, tout à changé. Tous deux sont devenues plus proches qu'avant et ils passent régulièrement leur temps libre ensemble à s'amuser ou à étudier. Elle ne s'en rend peut-être pas compte mais Maës se sent extrêmement protecteur envers elle. Si quelque chose lui arrivait, jamais il ne le se pardonnerait.
De plus, il ne lui reste plus que quatre années à résider à l'école Poudlard. Autant le dire tout de suite, cette école lui manquera éternellement.