Priori Incantatum
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 The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c

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Miryà C. Weasley
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Miryà C. Weasley


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MessageSujet: The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c   The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c EmptyDim 9 Nov - 22:28

            HORS JEU

    PRENOM ou PRSEUDO : ashee'
    ÂGE : 16 ans
    NIVEAU DE RP : plutôt bon
    COMMENT AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM ? : joker
    DES SUGGESTION ? : joker
    QUE PEUT-ON FAIRE POUR AMELIORER LE FORUM ? : joker
    AVATAR RESERVE : alexis bledel <3
    SEREZ-VOUS ACTIF ? : joker
    CODE DU FORUM ? : joker
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MessageSujet: Re: The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c   The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c EmptyDim 9 Nov - 22:28

D e c o d e
                    The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c Gg_alexis233
                    The truth is hiding in your eyes. And it's hanging on your tongue. Just boiling in my blood. But you think that I can't see. What kind of man that you are, If you're a man at all. Well, I will figure this one out. On my own. I'm screaming, "I love you so." On my own. My thoughts you can't decode.


    j'étais dangereusement pâle; dangereusement fatigué; dangereusement au bord du gouffre. je n'étais plus moi; je n'étais même plus l'ombre de moi même. je n'étais plus rien. j'étais devenue le fantôme de moi même, j'errais parmi les vivants; je passais sans les regarder. j'étais peut être dangereusement pâle mais j'étais devenue dangereusement belle, plus belle qu'avant. mes traits avaient changés, ils étaient devenues ceux d'une femme. je m'éloignais de plus en plus des traits de ma mère, je méloignais des potter, je m'éloignais de cette tribu, de ce clan pesant; je devenais de plus en plus une lindell. je devenais comme mon père; j'essayais. j'avais pris parti de mon père, dans le lutte qui l'opposait à ma mère & au reste de le meute potter, oui mes parents divorçaient. après tout ils étaient humains. mon père était le seul que javais un jour pris pour un super héro. j'étais grande j'avais décidé d'aller avec mon père, je ne voulais pas rester avec ma mère, plus je grandissais moins j'éprouvais d'affection pour elle. je me mettais à la haïr, j'avais tellement de rancoeur envers elle, envers celle dont j'avais été si proche. je ne voulais plus voir cette satané famille, avec leur satané courage. pour tout avouer, je n'avais jamais réellement vu la famille de mon père, ma mère ne les avait jamais aimé, je ne connaissait même pas mes grands parents paternels, ils étaient mort depuis des années. mon père semble caché un lourd secret, mais je lui fait confiance, je sais que tout ira bien. maintenant nous sommes tout les deux, juste nous deux, lui & moi, ensemble. sans cette maudite mère, sans même lenna qui préfère rester avec sa mère, car moi je ne la considère plus comme ma mère; j'ignore pourquoi tant de rancoeur; mais j'en éprouve pour toute ma famille, si je suffre c'est par leur faute, si je pleure aussi. qu'ils aillent tous au diable. je les reniais tous, sirius, evanna tous; je les haïssais, tous, ils avaient gâché ma vie, mes espérence, ils avaient conduit mon coeur à se briser en mille morceau sur le sol froid & dur du poudlard. c'était eux qui haïssaient, c'était eux qui avaient cette notion de dualité, cette notion de bien & de mal, ils étaient tous aussi manichéens les uns que les autres, peu à peu j'avais compris. j'avais compris pourquoi le suicide était utilisé par les personnes dont l'amour était interdit non toléré. j'avais compris pour l'maour conduisait à la mort. j'espèrais qu'en méloigant d'eux je m'éloignerai de cette vision manichéenne, et qu'ainsi je cesserais d'être cataglogué comme la fifille potter, je voulais être une lindell, je voulais être différente des autres, je voulais en fin de comptes, devenir moi même, grandir & voler de mes propres ailes. je voulais faire partie de cette famille que moi même je n'avais jamais renuié, j'en avais assez que l'on décide pour moi. je voulais être proche du mon cousin delcan, de son frère de coeur caleb & de sa soeur de coeur eris; je voulais être proche d'eux. je voulais qu'ils soient ma famille, & ils m'accueillaient avec les bras grand ouvert. j'étais prête à bon nombre de sacrifice pour me sentir faisant parti des leurs. et eux, ils m'accèpaient, à bras ouvert, comme si j'avais toujours été parmi les leurs, parmi deux, depuis des années ou que dis-je; des siècles.

    A leur côté, j'ai changé, oui, ma joie passée & oublié refaisait surface, jour après jour, la pile éllectrique de j'étais reprennait le dessu sur moi même dès qu'elle le pouvait. Sans soucis, j'accèdais à une forme de bonheur que j'avais attendue, mais dans mon âme meutri, le chagrin d'être loin de lui & de ne pouvoir l'aimer persistait. Je croyais qu'en étant heureuse, je parviendrai à l'oublier, lui qui était mon ennemis, du moins, dont le nom était mon ennemi; avant; aujourd'hui, je ne me revendiquais plus du tout comme une Potter, j'étais une lindell, pas une potter. j'étais si proche de mon père, si proche que c'était inédit pour moi; il n'y avait que lui & moi, mon père, mon héro. j'apprenais à tout savoir sur lui & étrangement, ses réactions & mes envies était déjà connu de mon géniteur, je n'avais pas de secret pour lui. je le rendais heureux, j'étais heureuse, tout allait bien dans le meilleur des monde. Tout, ou presque; je laissais grandir en moi, une haine pour ma mère, même pour ma soeur, pour ceux qui étaient autrefois ma véritable famille, mais j'ignorais pourquoi, aujourd'hui je ne pouvais que les détester, ils étaient presque des étrangers a mes yeux, d'intimes étrangers. je vivais avec mon père; dans sa maison londonienne, j'avais été intrigué par le fait qu'il ai une maison; intrigué mais je n'avais pas posé de question; une simple question dérangeant aurait pu ruiner notre relation. il était à la maison, ou il travaillait; c'était l'un ou l'autre, mon père ? il est scienttifique, sorcier & étrangement je ne l'ai jamais vu changer de toute ma vie; peut être était il comme nicolas flamel, immortel à cause de la pierre philosophale qui était sa principale source de recherche m'avait il dit; son boulot était de mettre en "pratique" différents myths populaire, tel que la fontaine de jouvance, mais ces choses étaient impossible selon moi à obtenir, l'immortalité n'existait pas pour moi, tout ce qui ne touchait pas au monde rationnel magique m'était étranger, et tout ce qui n'était pas prouvé pour moi, n'était pas vrai, tout était irrationnel. avant mes sieze ans, je ne croyais en rien, à part à la magie que je connaissais, je ne croyais plus en l'amour, ni même en l'amitié & encore moins en la famille, j'avais tellement été déçue dans mon passé, tellement déçu; j'avais vu mon petit monde s'écrouler pierre par pierre, morceau par morceau, je n'avais plus foi en rien.Ma vie pris une brusque & différente tournur le jour de mes seize ans. le vingt huit août de cette même année, il y a quelques temps.

    Etendue de tout mon long, je dormais de la plus paisible des façon sur mon lit, dans ce moelleux lit que mon père avait installer dans une des chambre de l'étage. Mes yeux étaient fermé, doucement, je m'étirais, un légé sourire vient ponctuer mon lever, un sourire heureux, aujourd'hui, c'était mon mon anniversaire. j'étais née à huit heur du matin, pa habitude, je prennais soin de me lever cinq minutes avant, afin de me précipiter devant le miroir dans le but de constater qu'avec une année de plus je n'avais presque pas changée. c'était une idée de mon père, une idée, une habitude instauré depuis que j'étais enfant. pour être franche cette idée, cette routine n'avait jamaus vraiment plus à ma mère, mais qu'importe, je déteste ma mère; je la hais. je me leva doucement ouvrant les yeux, mes grand yeux azure, qui scrutaient ma chambre, qui commençait à se remplir d'un joyeux bazar comme a mon habitude. je fourais mes pieds fin dans mes grosse pantouffle, oui, nous avions beau être en été j'avais froid en ce moment, oncle Arthur disait que je devais couver quelque chose, comme si c'était une évidence pour lui & mon père; pour moi ce n'était pas une évidence. Comme une joyeusse fuire je sorti a toute hâte de ma chambre, courant dans le couloir du second étage pour me précipiter à la salle de bain; je m'y engroufra, en manquant de défoncer la porte. Oui, j'étais à peine rentré dans cette denrière, que la porte portait en son centre la forme de mon épaule. intrigué n'entra alors doucement. je ne cherchais pas à comprendre, j'avais du arriver trop vite, et cette porte étaient frêle & fragile. j'entra alors, ferma la porte derrière moi; je regardait l'hrologe au dessu de moi, quoi ? J'avais seize ans depuis cinq minutes.. j'étais en retard sur mon timing, vraiment. Tant pis, je ferma les yeux & me mis face à la glace; doucement, j'ouvrit mes grands yeux bleus. j'ouvrit la bouche, sans la refermée. je contemplais cette personne dans le miroir, était ce moi ? la veille, je n'étais pas ainsi. Mes cheveux s'étaient légérement assobri, quand à ma peau, elle était devenue pâle. Je la touchais, elle était douce, & étrangement fraiche. Les imperfections de ma peau, la moindre petite cicatrice s'était évaporée; intuitivement, je regardais mon poignet sur lequel j'avais une cicatrice, mais, elle aussi, avait belle et bien disparue. je regardais, cette inconnue, qui avait pourtant mes trait, mon sourire; c'étais moi, même mes yeux avaient changés, il était d'un bleu plus vif, et ils étaient plus brillant.

    Je sorti de la salle de bain, manquant encore une fois de défoncé la porte, dans ma hâte, papa allait me tué. Et des dizaine de questions me traversaient l'esprits; que m'arrivais je ? Pourquoi comment ? Qu se passait il donc dans ma vie ? Comme si je n'avais pas eut assez de problèmes en l'espace d'un an ! je m'engouffra a vive allure dans ma chambre, fouillant dans les tiroir de ma commode, il me fallait se fichu thermomètre, ma peau était anormalement froide; je sorti tout de la commode, tout, de mes sous vêtements qui jonchianet désormais le sol de ma chambre a mes pull over. mais il était là, au fond; je le pris, et mesura ma témpérature dans mon oreille, bien pratique ces trucs moldus non ? J'attendit le petit bip, lorsqu'il eut lieu, j'espérais être rassuré, mais je regardait l'affichage numérique ébahis, vingt degré, je devrais être morte, voir; dans le coma, mais pas la debout, pas là; je ne devrais pas. Je recommença le processus des dizaine et des dizaine de fois. Mais toujours la même chose, peut être était ce un défaut de la technologie moldue ? j'utilisais alors un sort, mais le résultat fut le même, j'était froide, très froide. j'étas perdue, littéralment perdue. et à cet instant précis, je ne pouvais me tourner vers personne, absolument personne. mon père n'était pas là, je ne voyais plus ma mère, ni ma soeur, je n'avais plus evanna, ni sirius, a qui aurai je pu en parler ? je me retrouvais littéralement seule parce que je l'avais décidé, c'était ainsi. Je m'habilla en vitesse, j'attrapa mon jean levis, et un top débardeur. et je dévalla les escalier à toute vitesse, sautant même plusieurs marches; je passais devant la porte d'entré quand cette dernière sonna alors. je regardais cette dernière, perdue.


    — "Oui ?" dis-je alors de ma voix drôlement plus mélodieuse qu'avant en ouvrant la porte & en fixant disctinctement celui qui était derrière la porte; la facteur..
    — "Bonjour.. madame ! Euh.. j'ia ici un colli pour monsieur..." il chercha le nom sur la feuille, me jetant par alertenace des regards; "Monsieur Stephen Lindell; est il ici ?"
    — "Euh; non; il est au travail; je peux le prendre pour lui si vous voulez je suis sa fille." déclarai-je alors, heueuse d'être sa fille, en adressant un sourire aux facteur.
    — "Bien madame.. je.. enfin mademoiselle ! " il me tendit à la hâte le coli; et avant que je ne puisse le prendre le retira, et ajouta "Il faut que je vous fasse signez quelques chose mada..mademoiselle !"

    il chercha un moment, un long moment dans son sac, et moi je commençais à trouver le temps légérement long, mais bizarement, je restais à la limite de l'immobilité, perdue dans mes pensées les plus profonde, je pensais à ce qui m'était arrivé l'instant d'avant, javais changé physiquement, j'étais plus forte, différente. vraiment, différente; il me rapela par un bref "mademoiselle"; il semblait inquièt en me regardant, quoi j'étais resté immobile ? Je lui souris confuse et me pencha afin de pouvoir signé, ma main toucha la sienne, pour lui prendre son stylo. Etlà, j'ignore ce qu'il s'est passé, mais l'ensemble de mes pensée sont passée de mon corps, aux siens, j'avais vu mes pensées défilé, je pensais à jack, à notre baiser, au tournois, je l'aimais, oh que oui, toutes mes pensées étaient tournées vers lui, et visiblement, le facteur dûe voir la même chose que moi. je m'empressa de signé et de lui rendre son stylo, il était éffrayé, et moi aussi. Il me donna vite mon paquet & me fixa. Lorsque ses pupillent s'arrêtèrent sur les miennes, je ne semblais même plus cillé. il dit alors;

    — "je.. j'ai.. vuu.. vous... dans ma... ma tête quand je vous ai touché !"béguaya t il, affolé, éffrayé. "votre peau est... gélée.. gélée.. vous.. vous étes quo.. quoi au juste hein ? un monstre ?... Un.. Un ... vampire ?"
    — "je... je suis normale, complètement normal; vous étes complètement allumé, ous, hors de mon perron." déclarais-je avec une fermeté et une conviction qui m'impressionnait drôlement.

    il ne lui en fallut pas plus pour qu'il tourne les talons aussi vite qu'il le pu. Je restais sur mon perron, attendant qu'i s'en aille avec le coli de mon père, sur les bras; dès que je ne le vit plus; la panique me reprit alors. Je m'engouffra à l'intérieur, effraya, je posa le coli dès que je le pus et me dirigea a vive allure vers le téléphone, oui mon père avait tout du pafait moldu en apparence, même le téléphone prtable. mais impossible de me souvenir de son numéro. j'était au bord de la panique, mais bizarement, je ne tremblais plus; j'étais paniqué, sans tremblé, ce qui était impossible de nature pour moi, moi qui était très émotive et incapable de mentir. l'instant d'vant j'vais renvoyé ce fatceur avec une sincérité hors du commun alors que je mentais comme je respirais.lorsque je retrouva le numéor de mon père, je le tappa a vive allure... la ligne était ocuppé. je raccrocha, démoralisé. Mais la faim me tordi l'estomac. j'avais faim, tsè fai, je pris le téléphone avec moi, décidé à rappeler dès que possible, et j'ouvri la porte du frigo, pour la refermer aussi sec, j'attrapa à la place un pomme rouge, posée sur le comptoire de la cuisne avec les autres, attendant sagement d'être dévorée par une affamé de pomme; moi. je croqua à pleine dent, je savourais son gout, aussitôt que la bouché fut dans mon estomas, je lâcha alors la pomme; brutalement; et je plaqua ma main sur ma bouche, je ne pu empêcher de recraché ce que je venais à peine d'avaller. j'attrap le télphone et appuya sur bis, mon père décrocha et j'hurla presque en pleur:




Dernière édition par Alexie R. Lindell le Mer 12 Nov - 0:25, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c   The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c EmptyMer 12 Nov - 1:01

    — "papa !! je suis bizare... rentre à la maison je t'en prie, je t'en prie ! s'il te plait, je suis pas bien, j'arrive pas à manger, je recrache, j'arrive pas ! j'ai la peau glacée et j'ai fait un truc bizare avec le facteur ! " hurlais je dans le combiné.
    — "Calme toi mon ange!"m'assura t il, bien que j'avais entie qu'il s'était raidie quand j'avais dit "truc bizare avec le facteur", pour lui c'était en rapport avec la "chose" de toute évidence, le père qui protège sa fille. "quelles genre de choses avec le facteur ? Tu vomi ?"
    — "papa je... quand... quand j'ai touché le facteur, tu sais pour signer pour ton coli, j'ai.. j'ai touché sa main & ... l'ensemble de ce à quoi je pensais s'est.. transmis à lui.. et il m'a traité de monstre & m'a dit que j'était aussi froide qu'une mort vivante ! " racontas-je désemparée.
    — "Du calme ma puce, j'arrive immédiatement avec oncle Arthur."
    — "papa.. j'ia faim.. si faim que je.. j'en ai mal à la tête je.. j'ai tellement faim depuis que jia ouvert et touché ce type.. je.. "
    — "N'ouvre à personne."me coupa t il"ne mange rien, reste où tu es, reste calme, je suis là dans très peu de temps."

    Je n'eut le temps de rien dire, ne de rien demander, il avait raccroché. J'allais pleurer, j'étais désemparé, mes jambes voualient m'emener dehrs, cétait peut être la faim qi dirigeaient mes pas.. J'attendis debout, face à l'horloge, luttant pour rester dans la maison, je voulais aller dehors sans savoir pourquoi. La cheminé flamboya, mon père apparut, suivit de son frère, j'allais pour le serrez dans mes bras, sautant a son coup, je fondis en larme, j'avais besoin de lui. il se figea quand nous nous touchâme, je pensais à tellement de chose, je me voyais me découvrant, je me voyais défonçant cette porte, moi terrifiant le facteur, moi luttant contre une faim sans précèdant, moi, essayant de rester là, debout, il me serra de plus belle. je senti sa main passer dans mes cheveux, doucement, si doucement que je ne sentie même as oncle arthur qui perça ma peau avec une seringue injectant un produit qui me fit sombrer dans les bras de morphée, une nuit, un sommeil, sans rêves. mes yeux se fermèrent peut à peu & je senti l'étreinte de mon père se désséré, il m'allongea sur le canapé pendant qu'arthur, pendant qu'oncle arthur lui disait des mots incompréhensibles. c'est là que je perdi connaissance.

    — "son pouls est stable"dis mon oncle arthur à mon père.. "elle se réveille, en espérant que l'alimentation est fonctionnée."
    — "je l'espère aussi.. normalment, la nourrire une fois devrai suffire à bolquer cette soif non ?"
    — "En théorie oui, mais nous avons très eu de recule sur le sujet, c'est à peine mon second cas & je dois te rappeler que le premier était mourant et qu'il a été transformé avant d'vaoir eut ses seize ans révolu"expliqua arthur "alexie est unique en son genre, je ne réfère pas trop me pronnocer."

    mes yeux s'entrouvrirent délicatement, j'avais la tête qui tournait, mais la faim qui m'avait faliit faire perdre la raison s'était évanouïe, comme par magie, je voulais me lever. je ne voulais pas rester couché, je ne supporte pas l'idée de rester cloue dans un un lit. Mon père me fit signe de rester couché, je m'executa. Je regardais l'endroit où je me trouvais. ma chambre, qu'oncle arthur avait investi avec son bazar médical. je remarqua qu'à mon bras, une perfusion était connecté, je suivais le tube des yeux, je remarquais une poche ecarlate reliée au bout. m'injectaient ils du sang ou m'en prennaient t ils ? je ne savais pas. j'ouvris la bouche, ma bouche, elle était s_che, j'avais un goût bizare dans cette dernière, bizare inconnu, mais tellement apétissant; je passa alors ma langue sur mes lèvre dans le but de trouvé ne serai ce qu'une simple petite goûte de ce merveilleux produit. je regarda mon père, m'assit dans le lit, bien qu'on me l'eut interdit, je leur jettais à tout le deux des regards interogateur avant de dire de ma voix, douce & mélodieuse, ce qui était impossible normalement dans ces conidtion :

    — "Qu'est ce qui s'est passé ? et pourquoi vous m'avez endormie ? "
    — "Et bien... je t'ai endormi parce que, je ne tennais pas à ce que tu subisse consciente ce qui allait se passer, cela aurait pu avoir des conséquence sur ta vie sans compraison."expliqua arthur "je ne sais pas comment t'espliquer.. il faudrai commencer par le début Steph'"
    — "Oui; le début. je vais commencer si tu veux bien, tu mécoute lexi, tu ne panique pas, tu m'écoute, c'est clair ? tu n'as aucunes craintes à avoir." dit alors mon père; en ce mettant debout à côté de son frère, il s'éloignait de moi, craignait il une réaction de ma part ? "ce que je te raconte est un secret de famille, jalousement gardé, je t'interdit d'en parler à quiconque, personne tu m'entend ? Et bien.. il faut bien commencer par dire ce qui est; Arthur & moi même ne sommes paas humain, nous sommes des.. enfin si nous sommes humains, mais unique en partie, la plus grande part de nous même est.. elle nous vient de notre père, qui était un vampire.." un vampire, failli-je répèté, et pourquoi pas un stroumph déguisé en père noël aussi ?! ses yeux me fixèrent, puis il continua comme si des rien n'était "nous sommes en partie humain, nous nous nourrissons comme tout humain, mais nous pouvous aussi nous nourir de sang mais... comprend une chose, il ya différents types de vampire, comme il y a différent type d'humain, nous ne sommes pas des assassins, lorsque nous devons nous nourrir de sang comme l'exige notre régim; toute les trois semaine peut être, voir tout les mois,, nous tuons des annimaux pour subvenir à nos besoins. Nous sommes très vieux, très vieux, nous sommes immortels. Tu es comme Delcan, du moins.. tu es comme il l'a été un très court moment. La partie vampire qui est en toi someille jusuq'à la maturité de ton corps, tes seize ans. A partir de là, tu deviens en partie ce que nous sommes. D'après ce que l'on a pu voir avec Delcan, la partir vampirique ne dépent pas du pourcentage génétique; tu as les même capacité que nous autre, rapidité, force, aglité, mais ton corps est aussi dottée d'une beauté, d'une très grande beauté. Mais ton coeur bat, comme le mien, comme celui d'arthur, car tu n'es pas morte. il ya juste une partie de ton génome qui s'est éveillé; et qui fait de toi, ce que tu es. Je disais, delcan a été comme toi un très court lapse de temps, il était mourrant, Harmony a été obligé de le transformé avant même que ses seize ans soient révolus."
    — "Et Lenna ! Elle sera comme moi ?! " hurlais je presque, désemparé, elle était ma soeur tout de même, du moins.. encore.
    — "Non, tu es la seule dont je suis le père, Lenna n'est pas ma fille; non. Mais je l'ai considèré comme tel; j'ia fait "croire" à ta mère, qu'après toi j'avais des problèmes de santé qui seraient dangereux pour un enfant; c'était vrai.. d'une certaine manière.."
    — "Et pour moi !? ce n'était pas dangeureux peut être ?! " fulminais je aux bord des larmes.
    — "ça l'était, oui, mais Stephen aimait ta mère, il l'aimait tellement & puis.. depuis des siècles, il rêvait d'vaoir un enfant.. Les femmes vampire ne peuvent en avoir, leur corps restent figé à jamais; mais.."
    — "Je ne pourrai jamais avoir d'enfant ?! " hurlais je sur mon oncle !
    — "si, tu pourra, sans l'ombre d'un doute vu que ton corps évoluera tant que toi tu le désirera. les semi vampire ont la capacité de décider si oui ou non ils veulent faire évoluer leur corps, ils sont comme une télécommande avec, marche pause, arrêt & stop. Mais, étrangement, en plus es capacité de vampire, tu as un don, celui de transmettre tes pensée ou tes souvenir par un simple tocuhé, si tu le désir, il me semble que ton grand père, t'a enseigné la légitimentie, sert en et ferme en permanence ton esprit ou le contacte avec quelqu'un deviendra pour toi un enfer."
    — "ça sert à quoi ce truc ?" dis je en lui montrant la perfusion
    — "a te nourrir sans effusion de sang." dit il de la façon la plus stoïque qui soit, moi je tombais des nues. "il était hors de question que tu laisse ta faim prendre le dessu & que tu aille te nourir de passants dans la rue, mais tu as résisté à ta faim tout à l'heure; nous t'avons endormi afin de pouvoir te nourrir en te faisant boir du sang..humain, pour la première fois c'est presque obligatoire."
    — "HUMAIN !?" répètais en m'épommonant.
    — "personne n'est mort, il provient de la banque de sang anglaise, je suis médecin je te rapelle. Normalement, tu peux manger normalement, mas une fois toute les trois semaines, voir deux semaine, tu devra imperativement chasser des annimaux et te nourrir, sinon.. sinon tu perdra la contrôle & tu deviendra vraiment très dangereuse.."
    — "Delcan, Eris, & Caleb t'apprendrons a chasser lorsque vous serrez à Poudlard, vou irez dans la forêt interdite, tu aura l'instinct, j'en suis certain."
    — "parce que même dans un état comme le mien.. je retourne à l'école ? je pourrai en tuer un !"
    — "Si tu es nourri correctement, non. Aucuns risque ou presque."
    — "Evite les petits ami s'il te plait, là il pourrait y avoir meurtre.."
    — "Oui, là il y aurait un réel danger, tu n'es pas venimeuse normalement mais.. ta morsure le tuerai, il n'y surviverai pas, à moins que tu connaisse quelqu'un ayant un pouvoir de régénération instantané & étant capable de résisté à ta force, ce qui est impossible, je pense. je vais vous laissez, reste avec la perfusion. je reviens demain."

    Mon oncle quitta la pièce, me laissant seule avec mon père, qui s'assit sur mon lit et me dit :
    — "Comment te sent tu ?"
    — "Rassasiée; perturbé; perdue. Comment veux tu que je me sente ? J'ai vu mon père ne pas veillir pendant des années, j'ia immaginé pleins de scénario, le seul qui était cohrénet était le fait que tu soit un enfant de krypton, je cherchais en vain de la kryptonite mais.. Rien ! j'étais à l'ouest, je te prennais pour un héro mais.. tu.. nous ! nous ne sommes que les méchant hein ? ! les tueurs.. les assassins.."
    — "Tu ma pris pour Clark Kent ?"
    — "Oui; mais.. je.." il explosa de rire, et je rétorqua a moitié rieuse; "cesse de rire c'est pas drôle !"
    — "D'accord ma chérie, mais je suis étonnée que; que te le prenne de cette façon.. je pensais que ta réaction serait violente, généralement les nouveau vampires sont violents."
    — "c'est dans mon génome, j'y était sans doute préparée, et puis j'ia un papa meilleur que Clark kent ! "
    — "Aux yeux du monde, je ne suis pas comme Clark Kent, mais plutôt vu comme..."
    — "les méchants."
    — "Comme des lex Luthor pour continuer dans la métaphore.."
    — "Mais On ne tue pas d'humain." dis je alors en instant sur lle "on", j'étais comme eux d'après ce que j'avais vu.. j'étais s effrayé mais, bizarement je gerai.. je gérais.. Mais une autre chose me tracassait..
    — "Nous, Lindell, sont une excetpion. Nous sommes différent des autres de notre espèce..."

    je ne répondis rien. je resta muette. le silence pesant s'installa. j'aurai voulu, le toucher, le serrez dans mes bras, mais j'avais peur. oui, peur c'était le mot. je ne pourrait pas lui faire de mal, il était comme moi, son sang ne m'apporterai rien j'en étais sure mais.. je ne pouvais me résigner à le toucher. j'avais peur de voir, de transmetre, j'avais mon jardin secret, je tenait à le préservé, pour moi même, mes souvenir secret, des choses que je voulais pas que mon père sache, nottament le fait que j'eut eut plusieur petit amis que j'étais une femme & toutes les choses qui vont avec et qui ont de quoi faire paniquer un père averti.. il me lassa posant doucement sa main sur mon épaule, doucemen, sur mon top, il n'y eut pas la moindre action de mon pouvoir, les vêtement e stoppait, il fallait donc un contact physique.. Mon dieu.. c'était horrible, condamner à ne plus toucher personne jusqu'à ce que je le maitrise..mais j'avais bien profité de cet été, pour tenter d'oublier.. des vacances avec son père, ça fait tellement de bien, juste lui & moi, ensemble, dans la Caraïbes, j'avais adoré, mais là, lebronzage que j'avais gagné s'était évaporé pour laisser place a une peau blanche, froide, mais douce. je me remémorais ces vacances, du soleil, des garçons & la mer, que demander de plus ? Si peut être quelques gouttes, ou quelques boutielles de produit qualifiés d'alcool, mais je suis jeune, je me disait que je n'avait qu'une seule jeuneesse et qu'il fallait grandement que j'en profite, oui que j'en profite; je devais oublier tout le reste, laisser tout ça derrière moi, tout cet amour, tout ces sentiments faisaient obstacle à ma route.. j'ai réussit à oublier Nat, mais jack, non. je ne peux me résoudre à l'oublier, malgrè son nom, makgrè ce qu'il ets.. qu'importe son nom; même sans ce nom; il reste jack, le jack que j'aime, ce que je voulais, j'avais tant de fois revé qu'il soit mon jack.. mais les rêves sont faient pour être rêvés non ?
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Miryà C. Weasley
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MessageSujet: Re: The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c   The truth is hiding in your eyes - alexie U.re-c EmptyDim 16 Nov - 21:00

    ce jour là, je me laissais tomber dans le lit, sur le dos, fixant la perfusion qui m'alimentais.. j'aurai pu être dégouté mais au fond, qu'importe.. je ne pouvais être près de celui que j'aimais, mais j'avais ma famille, autant être comme eux; juste comme eux, comme ma famille, mes yeux se fermèrent tout doucement, j'étis fatigué, j'avais bsoin de dormir, oui de dormir; juste de dormir..

    je someillais, mes yeux fermé.. j'avais froid.. c'était une sensation étrange, très étrange. d'ahitude je n'étais pas frileuse, loin de là; j'avais toujours chaud. mes yeux étaient toujours femré, mais, je rêvais.. à quoi ? Je ne sais plus trop.. j'étais horrible.. j'étais.. différente, froide, sanguinaire.. une vampire en somme.. j'étais horriblement belle, oui horrible parce que j'étais couverte de snag, mais belle parce que mes yeux luisait et ma peau blanche me donnait une allure surnaturelle, une présence, pour la première fois de ma vie, je pourrait peut être entré dans un epièce et attirer les regards vers moi.. je contemplais autrou de moi.. je connaissais cet endroit, un couloir de poudlard.. Poudlard, obscure froid, comme je ne l'avait jamais vu, le sol était jonché e snag, tout comme mes mains & mes habit, ma robe, une robe ? une robe blanche couverte de sang.. je paniquais.. mais.. mon regard se posa sur le sol, des coprs, partout autour de moi, partout.. là bas, natanaël, puis plus loi mattie, là bas, evanna, lenna, siruis.. mais à mes pied, jack.. instinctivement je m'accroupis, et commença à pleurer, comme les rêvs sont étrange, en me levant je me regarda dans le miroir, mes lèvres étaient rouges sang, mes yeux bleus pleuraient de sangunaires lamres; je me mis alors à crier.. et là, je me sui réveillé, dans mon lit. la respiration haletante.. j'étais couverte de sang, j'hurla alors.. je tremblais comme une fueille, je tremblais, enocre e encore, l'odeur du snag me donnais faim, très faim, trop faim.

    je pleurais, oui, je regarda ma perfusion qui se deversais sur les draps.. j'avais sans doute trop bouger, je regardait le creux de mon coude, elle n'y était plus connectée. je cèda à la panique et appella mon père, je regardais mes mains tremblante dans ce bain de sang.. mon lit était rouge, la perfusion c'était percé, dans mon rêve j'avais peut être bougé.. mon père arriva en courant, plus rapide qu'un éclair,e il me regarda, effrayé, il s'approcha de moi s'assit sur mon lit & sans aucunes retenu me serra dans ses bras, je ne parvint pas à conteneir mon pouvoir, pas le moins du monde, je le laissa à ems pensées du moment, je revoyais ce cauchemard effryant, là où j'étais devenue une bête snagunaire.. je sanglottais sur son épule, je ferma les yheux cherchant à cesser cette connexion entre lui et moi, je ne voulais pas qu'il lise en moi, non c'était insuportable de devoir tout lui montrer, je pense que j'ai du réussir, il me serra encore plus fort. et moi, je continuais de pleurer, ces cauchemards étaient horrible, j'avais peur de moi même, j'avais peur de devenir ce monstre j'avais si peur de retourner à l'école..

    A ma grande surprise, et à la surpise de tout le monde j'avais des aratcère physique de vampire, mais je restais moi, une humaine, j'avais seulement le physique & la température corporelle d'un vampire.. mon oncle était intrigué par l'absence de caine aiguisé et l'absence de faim notable, je mangeait comme quatre des aliment normaux, il ignorait pourquoi. j'avais un peu eur, oui, & alors ? Sans ppeur il ne peut y avoir de courage; une fois dansma vie j'aurai voulu avoir le loisir d'êtree courageuse. mon père était intrigué, quand il me regardait, il disait voir une jeune fille normale, oui, je me sentait normal, plus sorcière que vampire, mais comme disait mon oncle, je n'était qu'un quart vampire, ce n'était pas une part trop importante de moi; c'est sans doute pour cela que je n'étais pas assoifé de sang; j'étais d'une sorte heureuse de n'êtere qu'une simple humaine, mais déçu de ne pas êtree définitivement comme eux; car j'vais renier tout le monde, tous ceux qui m'aimait; tous ceux a qui je ressemblais. sans le dire, sans l'avouer, je me sentais dangeruesement seule.. j'étais une humaine aux caratcère ohysqiue vampirique mais c'était tout, je n'étais qu'une sorcière doté d'une grande beauté, d'un pouvoir et du reste sans le soif.. j'étai différente de tout ce que l'on pouvait connaitre.
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