nom : weasley, ouai, et c'est pas un rouqine. fière d'être une weasley, elle ne se sent pas particulièrement proche du clan weasley, mais avant tout de ses parents, de sa soeur, de ses cousins (de certains), et de ses grands parents. quiconque s'amuse à plaisenter sur son nom se vera recevoir en pleine face le poing de la sorcière. prénom(s) : mirià, rozen, aspasia. elle aime ses prénom; pas la peine de chercher plus loin, elle les aime. Surtout mirià qu'elle trouve original, décidément, ses parents ont été inspirés à sa naissance. Rozen est un dérivée de rose, sa tante et maraine, elle préfère de loin rozen à rose. Quant à Aspasia, c'est un nom d'origine grecque donnée par sa mère, il serait celui de la matriarche de la famille Amadapopoulos, où les femmes ont beaucoup de pouvoir. âge : seize ans et demi. Seize années, la petite poupée de porcelaine a bien grandit. c'est devenue, une femme, ou presque. date de naissance : le vingt huit janvier lieu de naissance : st mangouste lieu de résidence : godric hollow nationalité : anglo-grecque
composition de votre baguette : la baguette de mirià est un peu étrange. elle mesure trente huit centimètre. En bois d'amarante, un bois are et précieux, elle est d'une couleur un peu différent. a une teinte caractéristique violette plus ou moins foncée. Sa couleur a tendance à foncer une fois le bois mis en œuvre, mais cette évolution est lente et demande plusieurs années. Au moment du sciage, le cœur fraîchement coupé est presque blanc, mais vire au violet très rapidement à la lumière. Aujourd'hui, elle est presque violette foncée. Sa baguette contient un crin de sombral, mélangé à de la poussière de fée. Etrange coctail pour une baguette assez dure à contrôler. année d'étude / matière enseignée : étudiante en sixième année à gryffondor. plus tard je serai : plus tard je serai, médecin légiste pour aider les enquêtes criminelle. ou bien plus tard je serai anthropologue judiciaire. L'anthropologie judiciaire aide la justice à élucider les crimes grâces à ses références anthropologiques sur les os, l'histoire, l'archéologie. Les anthropologues appliquent les techniques scientifiques développées par l'anthropologie classique physique pour identifier les restes humains (squelettes, ou restes humains décomposés et non identifiés) et aider dans l'élucidation d'un crime. la forme de votre épouvantard : l'épouvantard de mirià ets tout simplement un clown, qui tient dans sa main une boite à musique difusant les musique que les vendeur de glace diffusent pour attirer les enfants. Elle a très très très peur de clown, elle en a une peur bleu et est tétanisé par ces créatures depuis sa plus tendre enfance, elle a eut si peur d'un clown, qu'elle n'a jamais voulu en approcher un, tout comme elle n'a jamais voulu remontrer sur un manège après y avoir vu un clown. la forme de votre patronus : bien qu'en siximèe année, elle maitrse parfaitement le sortillège, petit surdouée comme sa grand mère, hermione granger, elle n'a pas vraiment eut de mal à l'assimiler, et a trouver un simple souvenir lui procurant une joie immense, celui de sa famille, heureuse, et unie le soir de noël il y a très longtemps. Son épouvantar est une tigresse, fine, qui apparait argenté du bout de la baguette de la petite sorcière.
pseudo: asheemenu, ou ashmn, genre j'ai enlevé deux voyelles, ben ouai, et j'aime ça, je sais pas pourquoi. A par ça, je suis alexia, personne m'appelle alexia d'ailleur, c'est juste Alexie, sans le "a", ou plus généralement, Lexie, ou lexxie avec deux X, ou Lex, mais pas trop le dernier, j'aime pas çaa fait trop smallville. présence sur le forum : avatar : alexis bledel, forever and ever. qui est là ? c'est le plombier. et là, tu est entrain de croire que le père noël a licencier ses rênes pour genre partir distribuer les cadeaux en porche cayenne ? ah, ah, ben non, je ne te dirai rien, si t'es pas capable de lire le règlement, il s'agit de ton problème : ) une suggestion, un commentaire ? non, non, je dis non. rien a signaler monsieur l'agent, absolument rien de chez rien. okay, je sors.
Dernière édition par Mirià R. Weasley le Jeu 11 Juin - 13:41, édité 3 fois
Miryà C. Weasley
mirià• boire de la vodka.aller chez ikea.
nombre de messages : 2982 age : 32 maison : — Gryffindor crédits : ashmn
Sujet: Re: « j'aime pas ce clown. » - mirià; UC Dim 7 Juin - 23:43
« ma vie. Ah ah. On m'a souvent dit que j'étais à la fois un cadeau et un fardeau. J'ai toujours été plus intelligente que les autres enfants de mon âge ( d'ailleurs je tiens cela de grand mère hermy ), mais j'ai toujours été plus chiante que tout les autres enfants. Caractérielle, têtue, déterminé, courageuse et ayant un caractère plus que trempé, je suis un fardeau pour ceux qui tentent de faire respecter leurs lois. Par exemple, mes parents, ils n'ont jamais vraiment réussit à me faire faire ce qu'ils voulaient, plus ils m'ont imposés de règles, plus je les ai outre passé, et ce depuis de nombreuses années. J'aime pas les règles, et surtout je vous emmerde. Le décor est posé, je suis pas méchante, mais putain ce que je suis chiante. Et le pire dans tout ça, c'est que j'assume. Chiante; et très fière de l'être. ma vie est faite de haut, mais aussi de bas. J'ai été une bonne partie de ma pré adolescence la fille sage, et artiste qui restait un peu sage, tout le temps. Bien que j'ai eut cette attitude rebelle depuis mes jeunes années, j'ai souvent été catalogué comme l'intellectuelle, sage mais ayant du répondant. Oh, oui. Oh oui. J'en ai du répondant. Une vrai grecque comme dit maman, pleine de caractère, aussi forte qu'Era, la femme de Zeus, aussi déterminé, aussi puissante et surtout aussi caractérielle. Era est d'ailleurs mon... quatrième prénom, mais ça, personne ne le sait. Des fois, dans sa vie on prend un bord radicalement différent en s'affirmant soit même. Cela m'est arrivé. Je suis devenue rebelle ( encore plus qu'auparavant ), plus mature, plus frivole, plus électrique, plus survolté, moins apte à écouter les ordres, moins aptes à être sage. Je suis devenue cette jeune fille, drôle, toujours souriante, insouciante, intelligente, un brin consciencieuse, et surtout déjantée. en fin de compte, je n'ai fais qu'une chose, devenir moi même, en grandissant. Moi, une femme survolté, déterminé, intelligente, chiante, courageuse, mais pas toujours très à l'aise avec les autres, je ne suis pas la fille qui s'accepte réellement, certaine sont dingue de leur corps, pas moi. J'aurai cent fois préféré avoir des yeux bruns, et non pas ces yeux bleus qui attirent l'attention sur vous, ni même ce visage angélique qui vous donne des allures de vestales, non. J'aurai préféré être bien plus banale, mais la vie est a décidé autrement, et j'assume. »
Barbie& Ken. June jouait avec sa barbie. Encore. La belle, la blonde, et l'heureuse barbie ( du moins à en croire ce sourire benêt qu'elle avait sur ce visage de poupée figée et qui lui donnait des allures de – soyons honnête – de pouffiasse. ). Je n'avais jamais aimé cette fichue poupée. Comment peut on aimé une femme pareil qui se vend à travers le monde ? La femme était devenu objet. Barbie était devenue objet. Je n'avais jamais compris comment l'on pouvait jouer avec des êtres humains miniatures. Jouer, c'était autre chose pour moi. Jouer c'était se tourner vers quelques chose de non, humain. Jouer c'était s'évader loin de tout ça, et non s'inventer une vie humaine. Enfant précoce, je ne tolérais pas que l'on me fasse jouer avec cette barbie, qui je désignais comme objet de l'homme, l'homme ne désignant pas l'humanité en générale, mais l'homme vous savez ceux qui sont moins nombreux que les femmes sur terre. La femme stéréotypé, barbie crée par de vieux pervers. Barbie aux formes sulfureuse, avantageuse. Barbie n'était qu'un objet. Pour moi, ces choses étaient le moyen de forcer les femmes à rester dans ce stéréotype là, la femme soumise objet de l'homme. Oui, à dix ans, j'étais précoce. Ça, je l'ai toujours su. Je n'ai jamais jouer comme toutes les autres petites filles, jamais. Je jouais magnifiquement bien au piano, j'étais précoce, je n'étais pas Mozart, mais, je n'ai jamais su lire une partition aussi étrange que cela puisse vous paraître. Il me suffisait d'entendre plusieurs fois un morceau, et j'étais capable de la rejouer l'instant d'après. Dès que je lisais quelque chose, cela s'imprégnait instantanément dans ma tête. Tout ce que l'on me disait se gravait dans cette dernière. Cela a inquiété mes parents, oui, inquiété. Après avoir passé de médecin en médecin, c'est finalement le docteur Hodges – un docteur moldu – qui a trouvé ce que j'avais; une mémoire absolue, j'avais une mémoire eidétique, et ce comme beaucoup de grandes personnes de ce monde, Mozart, Claude Monet. Il parait que c'est normal chez les jeunes enfants, et que cette capacité s'éstompe avec le temps, pas chez moi. des années après, je possède toujours cette particulérité de la mémoire.
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